Je vois pulluler des articles au contenu identique sur plusieurs blogs ces derniers temps. C’est ce qu’on appelle faire circuler l’information.
Comment embêter Facebook ? Cela peut-être une bonne chose, mais avant de faire circuler cette information il faudrait peut-être vérifier si elle a un réel intérêt.
Facebook vous agace ?
Quittez-le !
Je n’ai que cette phrase à vous donner en réponse à quelques-uns de ces articles :
- Presse-citron : comment embêter Facebook très simplement
- Gizmodo : Facebook vous agace, rendez-lui la pareille
En plus de proposer une démarche qui va vous demander de donner encore plus d’informations (adresse postale, carte d’identité, etc.), Facebook est en droit de vous facturer l’envoi de ces informations (seulement les frais de correspondance). De plus, les délais d’attentes sont de plus en plus longs pour faire face au flux de demandes, et au plus il y aura de demandes, au plus le flux sera long.
En effet, Facebook n’embauchera pas plus de personnes pour faire face à ce flux, ça ne l’embête pas, il allonge juste le délais de réponse.
Vous allez principalement vous embêter vous-même, Facebook n’en a rien à faire de votre demande, ça ne l’ennuie pas, du moment que vous restez sur le réseau !
Comment supprimer son compte Facebook
- Rendez-vous sur cette page.
- Si vous êtes déjà connectés, il vous suffit de cliquer sur Envoyer, autrement, entrez votre adresse électronique de compte et cliquez sur Envoyer
Votre demande est alors « transmise à l’équipe Facebook »
- Vous recevez alors un e-mail vous demandant de confirmer votre demande de suppression. Répondez à ce mail en confirmant votre demande de suppression.
Dans les semaines et mois à venir, Facebook va vous envoyer des relances pour réactiver votre compte.
Ne le réactivez pas et attendez sa suppression définitive.
Facebook a besoin de vos informations privées, de vos vérifier vos habitudes, vos centres d’intérêt, au plus vous restez sur le réseau au plus vous lui rendez service.
Cet article est un avis et une démarche qui n’engage que moi, ma réflexion est peut-être faussée.